L’influence des séparations de couple sur le marché de l’habitation
Le marché de l’habitation est en perpétuelle mutation, et ce, à cause de plusieurs facteurs. Chaque année, les facteurs changent, poussant les promoteurs à s’adapter aux nouveaux besoins du marché. Entre autres, l’une des causes serait la séparation des couples qui poussent de nombreuses personnes à quitter leur lieu conjugal pour en chercher un autre. Comment ce facteur influence-t-il concrètement le marché de l’habitation ?
Un marché de l’habitation prospère
On estime à plus de 40%, le nombre de la population canadienne qui sont des célibataires. Le taux est un peu plus élevé au Québec. Dans la génération actuelle, les couples n’ont plus une longue durée de vie, et ceci à de très nombreux facteurs. Quoique ces séparations soient un frein au bon développement des familles, il constitue une opportunité à saisir sur le marché de l’habitation. Après la séparation, l’homme est celui qui doit souvent déménager pour aller se chercher un autre logement, parce que la femme et les enfants en général restent dans la maison conjugale.
Dans cette situation, l’homme a besoin d’aller se chercher une maison ou un appartement sur le marché afin d’y vivre. Connaissant cette demande du marché, les promoteurs de l’habitation mettent sur pied des formules permettant aux hommes, et même aux femmes d’acquérir des logements après le divorce. Par exemple, les maisons à vendre Lacolle sont de belles opportunités que les couples en séparation pourraient saisir. En outre, les prix proposés sur le marché sont abordables avec de très bons plans par moment. Cette situation pousse les nouveaux célibataires à vivre dans des copropriétés afin de pouvoir s’en sortir financièrement. Quoi qu’il se passe, le marché de l’habitation québécois offre de nouvelles opportunités à tout le monde.
Des maisons remises en vente
Lors des divorces, les couples passent par des moments très difficiles, surtout financièrement, en dehors de tous les dommages moraux et familiaux que cela pourrait créer. Dans certaines conditions, les propriétaires peuvent décider de mettre en vente leur maison afin que chacun reparte avec une partie du butin afin de pouvoir refaire sa vie. Dans certaines conditions, si la procédure du divorce devient compliquée, l’habitation en question est saisie par les instances judiciaires et ne peut pas être vendue. Mais si elle peut être vendue, le marché se remplit de plus en plus de maisons neuves comme anciennes.
Dans certains cas, les prix proposés pour ces maisons sont assez chers. Cela implique que le marché reste stagnant parce qu’il n’y a pas de prenant. Mais d’autres fois, les prix aussi sont en dessous de ceux du marché, ce qui crée un déséquilibre. Le marché est donc en constante mutation à cause de toutes les offres qui viennent chaque jour. Dans la région du Québec où les divorces sont monnaie courante, chaque année de nouvelles habitations font leur rentrée sur le marché. Mais cette situation, si elle est bien maîtrisée, peut permettre d’amorcer une émergence dans d’autres secteurs. Si elle n’est pas bien prise en compte, elle risque de porter un coup dur au marché.
