Pages Navigation Menu

Actualité immobilière de la cote basque

Protéger les bâtiments contre la pollution

Protéger les bâtiments contre la pollution

Les propriétés de décomposition de la pollution organique du dioxyde de titane (TiO2) sont connues depuis environ un demi-siècle. Cependant, si les applications pratiques ont été peu nombreuses et difficiles à développer et maintenir, un producteur grec de peinture et produits de protections de surfaces a trouvé une solution fiable.

Les propriétés photocatalytiques de l’anatase, l’une des trois formes naturelles du dioxyde de titane, ont été découvertes au Japon à la fin des années 1960. Sous l’influence des rayons UV, il peut décomposer en dioxyde de carbone des polluants organiques tels que les bactéries, les champignons et la nicotine, ainsi que certaines matières inorganiques. L’effet catalytique est causé par la nanostructure de ses cristaux.

Appliqué en extérieur, disponible en France en produit invisible et non filmogène ou en peinture,abordable, offre une solution autonettoyante efficace pour les bâtiments. L’appliquer aux monuments dans les zones urbaines peut sauver notre patrimoine culturel, qui est menacé par les polluants.

Sous forme de peinture acrylique elle est appelée « Kirei » inspiré du mot japonais qui signifie à la fois propre et beau. Il s’agit d’un revêtement innovant car il allie l’action autonettoyante des nanoparticules photocatalytiques et les propriétés réfléchissantes des peintures murales. Lorsqu’elle est appliquée sur des surfaces extérieures, cette peinture peut réfléchir plus de 94 % du rayonnement infrarouge (IR) incident, ce qui permet d’économiser de l’énergie et de réduire les coûts de chauffage et de climatisation au fil des saisons. Les valeurs de réflectances sont améliorées par la capacité d’auto-nettoyage. Par rapport aux peintures conventionnelles, elles restent inchangées, propres plus longtemps. »

Elue en France produit de l’année 2016 par les professionnels du BTP (Bâtiment et Travaux Publics) elle est régulièrement testée et soumise à des contrôles de qualité selon les procédures normalisées ISO dans les installations de l’entreprise et dans d’autres laboratoires indépendants. Les résultats des essais en laboratoire dans des conditions d’altération artificielle et accélérée sont fiables : aucun signe de décoloration, de farinage, de fissuration ou d’autre défaut de peinture pendant 2 000 heures d’exposition aux conditions environnementales simulées : la durée de vie du revêtement devrait être d’au moins 10 ans.

Leave a Comment

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *